un bout de réflexion

Moi, je préfère la mise en forme d'avant, tout bleu. Désolée Indrea ^^ hihihi! J'aime les couleurs.
J'en suis venue, je ne sais plus comment, à lire un ancien article que j'avais écrit fin Terminale. Et je me suis rendue compte que ça me manquait d'écrire ici. Les articles ici laissent une trace de ma vie et j'aime ça car je déteste oublier. En plus, c'est quand même le site d'Indrea, et même si on a beaucoup, beaucoup changé, chacune de notre côté depuis l'époque où on se tapait des fous rires dans la cour d'Evariste, j'ai l'impression qu'on peut encore se parler ouvertement et qu'on se comprend quelque part. J'ai toujours apprécié discuter avec toi parce qu'entre nous, il y a toujours eu une espèce d'aisance à parler, et ça me manque un peu quand même, depuis le temps !

Je ne fais pas un retour fracassant, mais je rapport juste mon impression. Une envie passagère. Beaaaucoup plus simple à réaliser que quand on décide fermement d'écrire un grand article de retour! Vive la spontanéité.

Sur ce, je retourne à mes omelettes (pas les vrais).

Bon voilà, après demain c'est le bac, et je peux vous dire que j'ai presque pas révisé.

1. parce que j'arrivais pas à me stresser pour réviser, me disant que j'avais assez travaillé les deux premiers trimestres au moins et que je pouvais compter sur mes bases.

2. parce que le bac ne me sert à rien. C'est pourri. J'ai travaillé assez dur pendant sept ans et même que j'ai toujours travaillé sérieusement depuis le jour où je suis rentrée dans un salle de classe, et j'ai pas besoin d'un examen où il suffit d'avoir la moyenne pour me permettre d'entrer dans les études supérieures. Je n'ai plus rien à prouver à personne. Tout ce que j'avais à montrer, je l'ai fait. Le bac n'a rien de valorisant et ne m'apportera rien si ce n'est qu'un bout de papier me permettant de m'inscrire en prépa. Le bac ne me mènera nulle part. Ce que je voulais obtenir, je l'ai déjà obtenu et ce, en travaillant dur. Alors pourquoi je dois m'infliger encore du travail en plus alors que mon but est atteint? Ca n'a absolument aucune utilité. Tout ce qu'on fait dans la vie nous sert à quelque chose et je me suis toujours dit ça. Et d'ailleurs, c'est pour cette raison que j'ai étudié en partie. Tout ce qu'on apprend même si on ne s'en reservira peut-être jamais, peut être bénéfique, je pourrai toujours trouver un avantage à tout ce qui m'arrive. Seulement, le bac n'a rien de neuf, ne m'apporte rien de nouveau, ce n'est qu'un résumé de tout ce que j'ai déjà appris, une révision de tout ce que j'ai déjà révisé. Ceux qui vont en fac n'ont besoin que de ce bac, alors qu'ils le passent. Mais moi, j'ai déjà tout prouvé, alors si je ne taffe pas pour le bac, est-ce que ça voudrait dire que j'ai moins de mérite que quelqu'un qui n'aurait travaillé que pour ça et aurait une bien meilleure note que moi? Si je n'ai aucune mention, tout le monde va faire une gueule bizarre. Mais et alors? Dans la vie on a ce qu'on mérite d'avoir. Alors si j'ai déjà obtenu ce que je considère comme mérité, pourquoi je vais me faire bi*******ip à taffer encore? Marx a dit : dans la société communiste idéale chacun travaille "selon ses besoins". Et ben, rien que pour ça, je m'autoproclame marxiste. Que ceux qui en ont besoin aillent passer le bac et que ceux qui n'en ont rien à faire se barrent! non mais franchement, qu'est ce que ça va m'apporter? Imaginons que je bosse très dur, que j'ai même la mention très bien. Ok. Fièreté, gloire, cadeau, peut-être argent... Et ALORS? Récompenses passagères et c'est tout. Cool, j'aurais taffé comme une malade, ça me servira pas plus. Ca me GAVE!!! J'ai rien foutu et ben si j'ai 10, je l'aurai quand même ce pourri de bac! J'en ai pas BESOIN!!! En plus je suis obligée de me trimbaler à la bibliothèque tous les jours pour m'obliger à travailler et puis je vois certaines personnes qui, je suis quasiment sûre ont pas trop travaillé pendant le lycée, et qui viennent taffé. Franchement, si y a que le bac qui fait bosser les gens, le système est mal foutu. En plus, j'étais au Verger, puis je vois plein mais alors plein de "fiches bac, révisions faciles, fiches, fiches, fiches...".........Voilà, pour se faire un peu d'argent n'est-ce pas, on fait sortir plein de fiches récapitulatives que les élèves achètent et qui révisent avec. C'est vrai, après on peut bien aller se plaindre que les élèves travaillent pas. En même temps avec toutes ces fiches, à quoi bon prendre ses cours hein? Quelle société de glandeurs qui incitent à glander. En plus elles sont pas complètes ces fiches, alors on se fait prendre au piège. "J'ai trop taffé machin je me suis tapé une salle note machin j'en ai marre", si tu taffes pas par toi-même, c'est bien fait pour toi : on a ce qu'on MERITE point barre. Et puis vingt ans plus tard, on va manifesté toutes les semaines parce que ci, parce que ça. Mais mon vieux, si t'avais taffé pendant tes études qui sont faites pour, tu te taperais pas un sale boulot. Solidarité, solidarité, c'est joli, ça fait partie de la morale du pays. C'est vrai, c'est respectable. Mais bon on avait pas prévu que ça inciterait les gens à glander. Y en a qui sont tellement ignares qu'ils se plaignent de ne pas avoir assez d'indémnités chômage. Je suis désolée, je trouve qu'il y a certaines personnes qui se foutent un peu de la gueule du monde, y compris de la leur. Bon je pars en zigouigoui. Bref. Je trouve que les personnes qui ne bossent pas ou qui se contentent de profiter tout en soi-disant bosser, et qui n'assument pas derrière sont détestables. Et aussi que les gens qui sont conscients de leurs difficultés et qui travaillent durs et qui persévèrent sont admirables. Le travail est nécessaire, tout le monde doit en fournir que ce soit pour soi tout d'abord ou pour la société ensuite. Bouh, j'en veux pas du bac!

"J'étais morte" - "C'est pour ça qu'il faut que t'arrête la clope"..."C'est fatigant de vivre" - "ouais, surtout quand t'es amoureuse"

J'aimerais bien que la clope résolve les problèmes. J'aimerais bien être quelqu'un autre que moi pour pouvoir fumer.

Je veux que l'année s'arrête. Je veux juste passer le bac de danse et après je resterai dehors tous les jours, j'irai à des endroits pour occuper tout le temps mes yeux et mon esprit. Je veux qu'ils n'aient aucun moment pour pouvoir voir et réfléchir à tout ce que je veux détruire. Du moins oublier.

Je veux aller voir ma cousine et lui parler tout le temps de tout ce qui me préoccupe, qu'elle me dise des paroles sages et avec sa voix calme et que je voie le monde d'un autre oeil.

Je veux faire maintenant tout ce que je dois faire après le bac. Je veux mettre des juppes et des robes tous les jours, me sentir légère, faire du shopping pour que ça me fatigue tellement que j'aurais plus de tête pour penser après.

Qu'est-ce que je suis lassée. J'ai plus envie d'avoir ni cerveau, ni hormones.

Je fuis le passé. Ca me ressemble pas. Je le hais, il me hait. Il ne me donne plus que ses plus mauvais éléments, et je ne fais que les gober. J'ai pas de futur certain, j'essaie de le choper mais personne n'a l'air le vouloir tel que je le veux, moi.

Je veux choisir, moi. Je n'ai jamais choisi et affronté seule quelque chose. Même pendant un an, mon choix de rester avec lui, c'était parce qu'il était là, qu'il me soutenait, et parfois me retenait. A aucun grand tournant de ma vie, à aucun moment important, je n'ai pu faire un choix seule. Oui j'étais petite, oui je n'ai encore que 17 ans. Mais c'est un sentiment désagréable, qui donne envie de se dire "c'est le moment, c'est à toi maintenant. Ta vie est presque entièrement dans tes mains. Fais le bon choix."

J'ai mal au genou. Et je suis crevée. Je dors jamais assez. Si je vais dans cet état en Prépa, je tiendrai jamais. Au lieu du craquage prévu en février, je vais criser dès octobre.

Que c'est fatigant de vivre. Ca aurait été plus simple si la vie ne me donnait pas envie de la vivre. Ca aurait été vite fait.

Quelque chose de beau, quelque chose de sain, quelque chose de joli, quelque chose de doux, quelque chose de mignon, quelque chose de bon, quelque chose de tendre, quelque chose sucré, quelque chose de brillant, quelque chose de lisse, quelque chose d'acide, quelque chose de rose, quelque chose d'ennivrant, quelque chose de craquant, quelque chose de chou, quelque chose de relaxant, quelque chose de léger, quelque chose de fort, quelque chose de rigolo, quelque chose de solide, quelque chose de moelleux, quelque chose d'émouvant, quelque chose...

Je suis fatiguée. Lassée de tout ce qui se passe. J'ai besoin d'un long repos, dans un endroit noir, rose, blanc, doux, clair blabla. J'ai besoin de paix, d'être seule, de respirer un bonne air tendre et sucré, besoin de trouver un vrai équilibre qui puisse persister encore et encore, de trouver de la force en moi, de trouver un endroit qui soit à moi seule. Punaise que c'est fatigant de vivre.

Lundi, dans le RER, y a un Monsieur qui est entré dans le wagon avec tout son tralala. Il avait un accent rigolo, que je saurais pas reconnaître, faute de culture G (oh yeah! -_-'). Il avait un accordéon tout vieux, avec des creux sur les touches entourés de marron-jaunâtre, un petit chariot-charette-chabidule avec des trucs tout abîmés dessur un un ti magnéto ou lecteur de j'sais pas quoi. Bah, il jouait ses ti trucs, comme plein d'autres. Mais à un moment, il a joué l'air d'une vieille chanson russe bien connue en Chine que mes parents/oncles/tantes/grands-parents chantaient au karaoké et autres. Alors ça m'a fait un truc trop bizarre tout à coup. Les paroles me revenaient pas, mais je me souvenais que de la fin du couplet "...sur le petit chemin...". Bref, c'était drôle, un truc russe de mon monde chinois dans un métro de Paris. Tout à coup, cette chanson m'est paru beaucoup plus belle. Le petit son de l'accordéon, juste à côté de nous, quelque chose de vieux, vieux, vieux...
Ce jour-là, y avait un maaaagnifique ciel bleu avec un soleil tout scintillant. J'ai regardé par la porte de métro à côté de moi, on était dans Paris, le bruit du métro qui avance, les vielles mélodies à côté, le soleil, les arbres sans feuilles, les bâtiments gris, les fils d'électricité, le ciel bleu, les notes de l'accordéons, la main de mon Chéri.
Je sentais tout le petit Paris. J'ai jamais vraiment adoré Paris. Seulement, parfois, cette image du petit Paris romantique, chic, bien parisien que les étrangers donne à cette ville m'apparaissent tout à coup très clair, très joyeux, très pa-ris. Et dans ces moments-là, je comprends pourquoi les gens rêvent de Paris, pourquoi les gens veulent venir à Paris, pour le voir, pour le sentir, pour y vivre.
J'ai remercié très sincèrement le Monsieur à l'accordéon dans ma tite tête, parce qu'il m'a fait passer un moment vraiment agréable et je lui aurais donné des sous s'ils n'étaient pas à mes parents.

° ° ° ° ° ° ° ° ° °

Jeudi d'avant, c'était nos deux ans.
Bah, pas une journée extraodirnaire. Enfin si, elle était pire que les autres. C'est chouette non ? Par exemple que j'ai pleuré la matinée, le midi, le soir.

° ° ° ° ° ° ° ° ° °

Jeudi aujourd'hui.
Je fais des efforts. Je veux que ça continue.
Je lutte contre moi-même.

{article écrit le 21 Février 2007... Dommage de pas le mettre...}

Tiens, j'ai du temps.
Tiens, c'est les vacances.
Tiens, je m'ennuie...

Hhhhhhhhhhh........ qu'est ce que j'aime pas mal commencer ma journée! après j'suis blasée pour les 10h qui suivent...

Tiens, jourd'hui, j'ai 17 ans et 3 mois. Jsuis petite... mais c'est bien d'être petite aussi. J'ai décidé d'essayer au maximum de rester jeune quelque part jusqu'à au moins mes 40 ans. Jusqu'à au moins que mes enfants soient devenus adultes. OPEN MINDEEEEED!

Je m'ennuiiiiiiiiiiiiiiiiiiie T.T
Pourtant y a plein de choses que je devrais faire, que je dois faire, que je peux faire, que j'aurais eu envie de faire d'habitude. Mais là, démotivée.
Je viens de ranger les courses. Truc de filles, j'ai pris du poids. Et pourquoi mon père achète plein de trucs bons, avec pleins de sucres et de chocolats? J'ai lutté pour les fourrer dans le placard et je vais lutter pour pas les manger. rah, c'est dure la vie >o<!

*.*.*.*.*.*.*.*.*.*.

{Aujourd'hui...}

Bon en fait j'ai trouvé ce qui allait pas. Des préliminaires de ragnagna -_-'
mais bon là, je fais pas grand chose de plus.
hihi ma soeur elle appelle l'ordinateur 'radiateur'... elle sait déjà taper quelque mots sur pc et dessiner en plus elle fait des trucs très 'art contemporain' en négatifs et tout... rahlala la next geneuh franchement niouhouhou...

En lisant les textes de Laagan çà et là, je me souviens de mes premiers temps avec Msieur Mon Chéri que je connais si bien maintenant. Tellement bizarre de repenser à ce certain "Alex" que je croyais être Grégoire pendant un ti moment, ce certain "Alex" dont parlait tellement Mymi, ce certain "Alex" qui faisait des paris avec Anthony, ce certain "Alex" qui piquait quand il faisait des vrais bisous pour la bise, ce certain "Alex" qui m'a demandé trois fois mon prénom en une soirée, qui faisait mumuse avec msieur gros Tigre de chez Flo avec Anthony, qui était calin avec Mymi pendant Battle Royal, qui ne "sortait pas avec" Mymi d'après celle-ci, qui est venu à la conférence des écoles de commerce...
Puis, c'est devenu un Msieur Alex sur MSN, qui me pretait Naruto 1, puis Hunter 2 , puis qui arrive à la bourre, puis 9 autres tomes, puis qui faisait des batailles de neiges, puis qui me faisait scotcher devant le PC, qui me faisait flotter, qui était le garçon le plus gentil sur Terre (qui l'est toujours), qui me faisait décoller de mon statut de "fille modèle, parfaite pour les parents (ou presque)", qui prenait toutes les initiatives, que j'osais pas regarder en face, qui avait les cheveux mouillés comme moi...

J'ai toujours pensé que rester longtemps avec la même personne, c'était ennuyeux, surtout à notre âge, que c'était par habitude, par flemme, par principe, par peur de blesser, en ayant quand même conscience que les sentiments disparaissent. Même maintenant, si j'ai un regard objectif sur notre relation (oui je peux en avoir un, c'est humain), cette conception des choses est toujours valable. Sauf qu'en fait, je la vis, alors du coup, badaboum, ça tombe par terre. Parce que nous vivons toujours une passion, certes totalement différente du début, avec des sentiments, des envies, des frissons, des désirs, du bonheur, des sourires, des regards, des comportements, des paroles... tous différents. Et c'est tant mieux. Le temps avait agi un moment, mais plus à présent.

°.°.°.°.°.

Qu'est ce que je donnerais pas pour passer juste une nuit tranquille avec lui... juste un moment sans se soucier du retour, des parents, du mensonge, du stress... juste être tranquillement là, juste dormir un peu, sans avoir peur de se réveiller trop tard, sans attendre le réveil qui annonce l'heure de départ, juste penser qu'il y aura une fin seulement si on le décide...

AAAAAhhhh....
bah rien de particulier, histoire de parler.

Juste une tite goutte de plainte : parce que de toute manière, je suis quelqu'un qui se plaint.
C'est fou ça, de se dire que je suis en Terminale, ma dernière année de Lycée, dans ce bon vieux Lakanal, qui d'ailleurs va me manquer, mais voilà, je fais ma tite Terminale S comme plein de gens l'ont fait, le font, le feront, et pis c'est quand même pas mal overbookant, mais bon faut que je fasse avec puisque de toute manière l'année prochaine, je me lance dans la prépa, la prépa-l'horreur, la prépa-la tuerie, la prépa-le craquage.
J'exploite.

Sinon, de quoi est faite ma vie? Et ben vous le saurez pas >o< niark niark!!!

Hum... ah oui ben nan hein, j'ai pas d'inspiration particulière là.
Ben ouais, je fais ma tite routine, avec ses gros trucs chiants de tout lycéen digne de ce nom, avec ses petits plaisirs, ses petits agréabilités, oh non, bien sûr pas grand chose, pas de grandes choses que font habituellement un adolescent digne de ce nom, mais avec le temps, et on peut dire que j'ai pris beaucoup de temps, je sais faire ma je-m'en-fou-tiste. Ah oui, j'avais oublié que c'est peut-être aussi à cause de la crise avec mes parents (qu'est-ce que je hais utiliser des expressions avec ce mot!), du relachage comme un ballon qu'on pète et qui se vide d'un coup. Mais bon, peu importe la raison, maintenant, à présent, là, et ben je me passe de la frustation, je fais mes trucs chiants, je fais mon devoir de lycéen chiant, je suis sérieuse, et je m'en tape, jugez ce que vous voulez, et je me réjouis de quelque petit machin ou machine, que ce soit en proportion comme le nombre de lettres Z dans un texte de latin.
J'ai une vie de vieux, j'ai une vie de bzzz, mais je sais, ou du moins je sens que dans un certain temps, j'aurai ce que je désir. Je suis patiente. Maintenant, je vis mon présent, et j'apprend à l'apprécier tel qu'il est.
C'est cool la vie. Je vais plus chercher à comparer avec ce que je devrais avoir en tant que gens normal de cet âge, avec ce que j'aurais dû avoir si j'avais pas changer de vie à mes 8 ans et demi, je vais plus envier les autres, je vais plus être jalouse, je vais plus être frustrée.
C'est cool de dire tout ça, même si c'est peut-être des paroles en l'air.

C'est bête. Je fous ma vie dans un trou, comme si tout ce que je racontais la résumait ou résumait ma vie d'un peu avant. C'est bête parce que c'est pas juste.
Peut-être que j'ai un excès d'optimisme (là, je ne me sens absolument pas optimiste), ou c'est juste parce qu'en ce moment, ça va bien.

J'sais pas.
Vous avez pas l'impression que je raconte toujours la même chose ici, que je raconte toujours ma vie, que ça tourne toujours autour des mêmes choses, que j'suis ennuyeuse quand même sur ce joueb? Bah moi si.
Allez hop, tant pis.
Le but, c'est en partie de sortir tout ce que j'ai envie de sortir. Ensuite, pour que ce que j'ai sorti soit vraiment ex-sorti, il faut qu'il soit concrètement lu. Enfin, jugé pour que ça ait un sens d'avoir été lu.
Bref, je vous encombre. Je m'excuse.

J'ai envie de pousser un coup de gueule, je peux?
En fait, c'est pas vrai, c'est pas un vrai coup de gueule.
Pour tous les petits trucs, grands trucs, petites paroles, grandes paroles, petits gens, grands gens, petites pensées, grandes pensées...
Qui énervent.
Qui irritent.
Voilà.
C'et plutôt pour le souvenir des moments où j'ai le moins supporté (mais bien sûr qu'on supporte toujours).
Voilà, histoire que ce soit écrit quelque part. Parce que ça a déjà été dit et écouté. Et peut-être expiré.
C'est fou.