un bout de réflexion
Et voilà, demain "il" ne sera plus là; depuis le temps que je redoutais cet instant. Devant partir chez son père à Bordeaux, je ne le reverrai que dans deux semaines! Et je résiste comment moi? J’en pleure, ce n’est pas la première fois! Bien sûr il va m’appeler souvent, mais j’ai besoin de le voir, une présence physique, ou savoir que je vais le voir bientôt, très bientôt… Je ne veux pas qu'il parte! Il aura quand même, peut être, MSN là-bas. Heureusement.
Je veux qu’il sache ce que je ressens, mais je vais pas commencer à l’embêter avec mes problèmes de sentiments trop poussés, mais si je reste indifférente, ce que je ne suis pas, ça le dégoûterait peut être? Logique. Du reste ne suis-je pas égoïste dans mes sentiments ? Si sûrement.
Mais sans doute le pire sera en fin août, où il devra partir de nouveau à Bordeaux, pour aller en internat cette fois ci. Ca ne durera pas que deux semaines mais un an, deux, trois voir quatre ans!Il m’a assuré qu’il reviendrait deux week-ends par mois, c’est pas assez ! Je proteste! Et là encore, comment je résiste moi ? Pourtant je vais pas l’en empêcher, c’est très bien pour ce qu’il veut faire d’aller à Bordeaux (scénariste réalisateur ). Voyons les choses du bon côté, je ne pourrais pas les changer de toutes façon... Et puis comme je l’ai dit, aller à Bordeaux, c’est super pour ce qu’il veut faire...
Sa mère voulait faire une « fête » pour son départ ce vendredi (car il y aurait pas le temps en août) . Drôle de fête, mais c’est vrai que pour eux c’est heureux ! Il a eu l’autorisation de prendre un cuite, et…moi aussi, mais finalement la « fête » a été repoussé pour on sait pas quand (ça devient complexe!).Je vais pas dire dommage. Je sais même pas comment j’aurais réagi.
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