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amour de Schniourfs
--> ke paçataï?
Bon, je me suis encore mis dans la tête de parler de mes histoires d'amour, sinon je risquerais d'oublier que je fais partie du monde nian-nian (ou gnan-gnan?) de la petite adolescence bourgeoise. Ne jamais renier sa nature. Retourner en cours me fera du bien, au moins par rapport à ça.
Mon mec à moi, et bien ça commence à faire un moment que je suis avec lui. Pour être exacte, on s'est rencontré il y a plus de 4 mois, avec pauses, volontaires ou forcées. Et j'ai l'impression que ça ne s'est jamais aussi bien passé qu'en ce moment.
C'est l'extase, et d'ailleurs c'est assez inexplicable. Je ne cherche plus à expliquer les hauts et les bas de cette relation de toute façon.
En rigolant hier soir il m'a dit "dans un couple, il y a toujours quelqu'un qui mène - tu vois, pour nous, c'est moi qui mène". C'est parti en bataille d'oreillers, mais ça m'a quand même marqué : dans le fond, il a raison.
Il a raison et c'est une vérité tout à fait insupportable pour moi et mon ego indépendantiste. Il mène, il me mène. Je suis toujours sa volonté, indirectement bien sûr. Je ne lui obéis pas, mais en final, je fais ce qu'il veut. Lorsqu'il le souhaite notre couple va bien, mais lorsqu'il n'est pas d'humeur il peut aussi le rouer de coups. Je ne pense pas qu'il s'en rende réellement compte lui-même, le tout fait partie du domaine du non-dit, presque inconscient. Je sais me faire désirer, mais dans le fond, je reviens toujours vers lui si il a les bras ouverts. Dans le passé, je me suis jurée de ne jamais être dans cette situation. Une sorte d'inferiorité.
Je me le suis juré avant de le connaître, et je me le suis encore juré pendant ces vacances loin de lui. Et il faut reconnaître que j'ai progressé, je suis beaucoup plus indépendante émotionnellement. J'arrive mieux à regarder la vérité en face.
En ce moment bien sûr ça ne pose pas problème, puisque tout va à merveille. D'ailleurs je commence serieusement à croire que ce mec est entrain de tomber amoureux de moi. Sensation inhabituelle.
Le problème, c'est qu'à tête reposée je continue à me demander ce que je fous avec un mec pareil. Il y a quand même quelque chose qui cloche, j'ai conscience qu'on est pas vraiment fait l'un pour l'autre. Là, tout va bien, mais je redoute ce bonheur car je sais qu'il ne pourra pas durer : j'ai le sentiment que nous sommes entrain de batir la douleur de notre rupture.
Je ne sais pas pourquoi je suis aussi pessimiste dans cet article, en vérité je suis assez contente. Je ne me prends pas trop la tête, on passe de bons moments pour l'instant et j'ai largement dépassé le stade critique où je ne saurais m'en passer.
Il faut voir, comprendre, retenir l'expression de ses yeux lorsqu'il se penche vers moi, et caresse mes cheveux en me fixant longuement avant de m'embrasser. Son sourrire. Sa manie de carresser sa cigarrette sur les bords du cendriller pour en dérouler la cendre. Ses mains sur mon corps.
Pourquoi donc est-ce que je n'arrive pas à lui résister? Pourquoi, et pourquoi lui?
Mon mec à moi, et bien ça commence à faire un moment que je suis avec lui. Pour être exacte, on s'est rencontré il y a plus de 4 mois, avec pauses, volontaires ou forcées. Et j'ai l'impression que ça ne s'est jamais aussi bien passé qu'en ce moment.
C'est l'extase, et d'ailleurs c'est assez inexplicable. Je ne cherche plus à expliquer les hauts et les bas de cette relation de toute façon.
En rigolant hier soir il m'a dit "dans un couple, il y a toujours quelqu'un qui mène - tu vois, pour nous, c'est moi qui mène". C'est parti en bataille d'oreillers, mais ça m'a quand même marqué : dans le fond, il a raison.
Il a raison et c'est une vérité tout à fait insupportable pour moi et mon ego indépendantiste. Il mène, il me mène. Je suis toujours sa volonté, indirectement bien sûr. Je ne lui obéis pas, mais en final, je fais ce qu'il veut. Lorsqu'il le souhaite notre couple va bien, mais lorsqu'il n'est pas d'humeur il peut aussi le rouer de coups. Je ne pense pas qu'il s'en rende réellement compte lui-même, le tout fait partie du domaine du non-dit, presque inconscient. Je sais me faire désirer, mais dans le fond, je reviens toujours vers lui si il a les bras ouverts. Dans le passé, je me suis jurée de ne jamais être dans cette situation. Une sorte d'inferiorité.
Je me le suis juré avant de le connaître, et je me le suis encore juré pendant ces vacances loin de lui. Et il faut reconnaître que j'ai progressé, je suis beaucoup plus indépendante émotionnellement. J'arrive mieux à regarder la vérité en face.
En ce moment bien sûr ça ne pose pas problème, puisque tout va à merveille. D'ailleurs je commence serieusement à croire que ce mec est entrain de tomber amoureux de moi. Sensation inhabituelle.
Le problème, c'est qu'à tête reposée je continue à me demander ce que je fous avec un mec pareil. Il y a quand même quelque chose qui cloche, j'ai conscience qu'on est pas vraiment fait l'un pour l'autre. Là, tout va bien, mais je redoute ce bonheur car je sais qu'il ne pourra pas durer : j'ai le sentiment que nous sommes entrain de batir la douleur de notre rupture.
Je ne sais pas pourquoi je suis aussi pessimiste dans cet article, en vérité je suis assez contente. Je ne me prends pas trop la tête, on passe de bons moments pour l'instant et j'ai largement dépassé le stade critique où je ne saurais m'en passer.
Il faut voir, comprendre, retenir l'expression de ses yeux lorsqu'il se penche vers moi, et caresse mes cheveux en me fixant longuement avant de m'embrasser. Son sourrire. Sa manie de carresser sa cigarrette sur les bords du cendriller pour en dérouler la cendre. Ses mains sur mon corps.
Pourquoi donc est-ce que je n'arrive pas à lui résister? Pourquoi, et pourquoi lui?
Commentaires :
Re:
(moi ca fait un an et demi presque! et dans la vraie merde en plus! :D cheese!)
Alice, putain (jaime bien ce mot en ce moment ou quoi???!!!) arrête de "redouter" le bonheur qu'on te présente sous le nez! (ou les yeux, la bouche, le front, la barbe, c'est pareil) profite! (enfin on a pas trop la meme vision on plus)
ouais, finalement, tu peux choisir de quoi profiter. t'as de la chance! profites-en! (oula, répétitif)
fin bref.
Alice, putain (jaime bien ce mot en ce moment ou quoi???!!!) arrête de "redouter" le bonheur qu'on te présente sous le nez! (ou les yeux, la bouche, le front, la barbe, c'est pareil) profite! (enfin on a pas trop la meme vision on plus)
ouais, finalement, tu peux choisir de quoi profiter. t'as de la chance! profites-en! (oula, répétitif)
fin bref.
hannnnn t moumoureuse pas de doute.
En meme temps pour reprendre ce que disai hed, quand on es lancé dans ce genre de merdier, on peut foutre en l'air les amnuels d'instruction.
Essai de savoir ce que tu veu, et ce sera le bon choix.
sinon moi ca va
En meme temps pour reprendre ce que disai hed, quand on es lancé dans ce genre de merdier, on peut foutre en l'air les amnuels d'instruction.
Essai de savoir ce que tu veu, et ce sera le bon choix.
sinon moi ca va
Je crois que pour moi ça aura duré un mois et pas plus... m'enfin... c'est un peu dma faute. Un peu dla sienne aussi. C'est comme ça, et puis je me sens plus libre. Je devrais me taire parce que c'est pas officiellement fini mais inutile de se voiler la face. Je me sens bien là. Sachez que je suis Happy [dire que j'ai failli marquer Hippo -_-'] pour tous les couples que je connais sans exception, aucune.
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hed
L'amour, c'est un grand bol de merde, mais une fois qu'on est dedans on est bien content, même si on aime toujours trouver le truc qui cloche.
Ca va faire un an que je nage dans la merde (le 29 août pour être exacte), et c'est royal !! :D