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un bout de réflexion

nos sentiments et reflexions au jour le jour
fêtes & autres
Je ne sais pas si je suis en état, mais après tout, lançons-nous.

J'ai tellement fait la fête ce mois ci... Quasiment enchaîné trois grosses fêtes, les trois étant vraiment très réussies, bien que différentes.
En tout cas, beaucoup de rock, alcool, délires, drogues, nuits d'une ou deux heures, et aussi flirt & sex (enfin surtout pour la fête d'hier...).

Est-ce que c'est ça, vivre, et être jeune? Mhhh. Ca a un côté qui n'est pas très satisfaisant, mais pourtant, ça fait tellement de bien... L'ensemble. J'ai l'impression que dans ma vie actuelle, faire la fête ne peut être que positif.

Il faut le dire, je pète un cable en ce moment. Je sèche des cours, je sors beaucoup, je fume plus, et plus du cannabis, je marche par coups de tête : j'ai bossé pendant des heures sur ma fiche de lecture de français, mais je n'arrive pas à me motiver pour faire quoi que ce soit qui se rapporte à de la physique, par exemple. Même pas le strict minimum. Bon en fait rien de tout ça n'est très étonnant, mais j'ai comme une impression qu'à l'interieur de moi, il y a une sorte de mini-révolution. Ca fait longtemps que je dis ça, mais plus le temps passe, plus je confirme.

L'autre jour, j'ai annoncé à mes parents, texto, au milieu du dîné, que je fumais du cannabis (de temps en temps, pas beaucoup, et la plupart du temps lors d'occasions particulières...). Ca a foutu un blanc massif au départ. Mais en final, ils étaient contents que je leur en parle, et une fois le choc initial passé, ça ne les dérange pas plus que ça, je crois. Je leur ai expliqué que pour moi, mis à part pour le côté illégal, c'était comme l'alcool. Si on sait ce qu'on fait, ça n'est pas plus dangereux, au contraire.
Ca ne leur fait pas particulièrement plaisir, mais ils ne peuvent pas faire autre chose que de l'accepter. Et puis ils en ont fumé ("dans notre jeunesse..."), et ils ont compris que c'était quelque chose très "normalisé" maintenant : tout le monde fume...
D'ailleurs il me semble qu'en final, ça a plus choqué mes soeurs que mes parents. Mais bon, mes soeurs sont sans doute facilement choquables...
En tout cas, ça a ouvert le dialogue, et c'est toujours positif.
Et puis je détestais qu'ils ne le sachent pas : non-dits, taboos... Et aussi le stress qu'ils le découvrent par eux-même, l'ennui de me dire qu'ils vont se douter que je le leur cache, alors que c'est quelque chose dont on peut parler.
En bref, experience positive.

Hier soir, j'ai flirté (euphémisme pour dire qu'on a passé la nuit à tester différents endroits pour définir quel était le coin optimal (je vous assure que ça n'est pas si simple que ça, étant donné le nombre de dormeurs comparé au nombre de matelas/couvertures...)) avec un mec du genre de mecs qui m'attirent. Le mec type, un petit peu. C'est amusant parce que je n'ai jamais vraiment "défini" à quoi ressemblait le mec type, mais avec le temps, je me rends compte qu'il y a quand même un profil, un look, un style... Je ne sais pas quoi exactement, mais un quelque chose qui m'attire chez certaines personnes, et que je retrouve assez systématiquement chez les mecs qui m'intéressent.

Bref. Le seul problème quand on se tape the mec type, c'est que quand on traine le matin jusqu'à midi avec les autres, à l'observer, on se dit que c'est quand-même dommage que ça soit simplement un "truc d'une nuit". D'un côté, le mec type n'a jamais été quelqu'un qui s'attache facilement, ni quelqu'un qui est très motivé pour commencer une relation "serieuse"... (malheureusement, j'ai cru remarquer ça aussi).

Bref. Lui était quelqu'un de très doux. C'est rare, c'est agréable.

Plus qu'une semaine avant les vacances. Vive les vacances. Il faut que j'essaye de prendre cette semaine comme une "dernière ligne droite", parce qu'entre un commentaire de 3h de français et une dissertation de 2h en histoire, plus un contrôle d'allemand, ce sont des choses pour lesquelles il faut (et pour lesquelles je veux) faire un effort.
C'est le problème : comme j'arrête de stresser pour les matières qui ne m'interessent pas (et ne me serviront pas particulièrement), je sens que ça me met dans un état général contestataire et rien-foutiste.
Attention, la flemme se répend vite...
Mais je ne crois pas qu'on puisse me considérer comme quelqu'un de flemmard, donc tout va bien.

Je vous l'avais dit, ça, que tout allait bien?
Ecrit par Indrea, le Dimanche 29 Janvier 2006, 17:50 dans la rubrique Indrea.


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