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Trial
Plus rien ne semble m'atteindre.
Au revoir monde cruel, c'est finit je ne veux plus revenir.
Je suis parfaitement isoler derrière mon mur qui me sépare de vous.
Et j'attends que les vers viennent me bouffer.
Finit.
La peur.
Finit.
La colère.
Finit.
La haine.
Finit.
La souffrance et la peine et la douleur.
Vous n'avez plus envie de rien ressentir?
Faites comme moi : attendez que les vers viennent vous bouffer.
Stop!
Je veux redevenir comme avant.
A force de rien ressentir, suis je devenu inhumain?
Est il possible que j'eusse été coupable durant tant de temps?
Pourquoi cela ne marche jamais?
Pourquoi je n'ose pas parler à coeur ouvert?
Pourquoi ai je l'impression que dès que je suis heureux tout bascule?
Et pourquoi tout ce monde autour de moi
dès que je raconte mon histoire me regarde comme si j'étais fou?
Est ce ma faute ? Suis je vraiment coupable de cela?
Je ne veux plus me faire d'illusions car beaucoup de souffrance en général cela entraîne.
Est ce un crime de ne vouloir plus rien ressentir?
Pourquoi ai je peur de l'amour?
Est ce un crime quand on saît que cela s'arrêtera un jour?
Suis je aussi coupable de cela?
Ai je été coupable toute ma vie?
J'entends des personnes qui essaient de me répondre,
et il leur faut beaucoup de courage.
Car il semble stupide de faire battre son coeur contre le mur d'un pauvre taré.
Au revoir monde cruel, c'est finit je ne veux plus revenir.
Je suis parfaitement isoler derrière mon mur qui me sépare de vous.
Et j'attends que les vers viennent me bouffer.
Finit.
La peur.
Finit.
La colère.
Finit.
La haine.
Finit.
La souffrance et la peine et la douleur.
Vous n'avez plus envie de rien ressentir?
Faites comme moi : attendez que les vers viennent vous bouffer.
Stop!
Je veux redevenir comme avant.
A force de rien ressentir, suis je devenu inhumain?
Est il possible que j'eusse été coupable durant tant de temps?
Pourquoi cela ne marche jamais?
Pourquoi je n'ose pas parler à coeur ouvert?
Pourquoi ai je l'impression que dès que je suis heureux tout bascule?
Et pourquoi tout ce monde autour de moi
dès que je raconte mon histoire me regarde comme si j'étais fou?
Est ce ma faute ? Suis je vraiment coupable de cela?
Je ne veux plus me faire d'illusions car beaucoup de souffrance en général cela entraîne.
Est ce un crime de ne vouloir plus rien ressentir?
Pourquoi ai je peur de l'amour?
Est ce un crime quand on saît que cela s'arrêtera un jour?
Suis je aussi coupable de cela?
Ai je été coupable toute ma vie?
J'entends des personnes qui essaient de me répondre,
et il leur faut beaucoup de courage.
Car il semble stupide de faire battre son coeur contre le mur d'un pauvre taré.
Ecrit par BouddhaStorm, le Mardi 26 Juillet 2005, 14:14 dans la rubrique BouddhaStorm.
Commentaires :
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Indrea
Je ne te suis pas complètement, de quoi te crois-tu coupable??
Tu es responsable (et donc coupable) des tournures que prennent ta vie, même si parfois elles arrivent après les actions d'autres personnes. La façon de voir les choses, de réagir et de changer, c'est toi, ton carractere.
Maintenant, es-tu coupable de ta souffrance, c'est assez dur à dire... Mais j'ai pas l'impression que c'est ça que tu posais comme question.
Pour être coupable, il faut avoir faire quelque chose de mal, que quelqu'un t'accuse. Ou que tu t'accuses toi-même. Mais de quoi??
Ne rien ressentir, je n'y crois pas. Se mettre une carapace, oui. Et ça n'est souvent pas la meilleure solution : tu sais bien toi-même qu'il vaut mieux affronter les choses de face.
Mais pourquoi accorder tant d'importance à un amour de vacances?? Je ne connais tellement pas la situation que je ne peux pas te dire grand chose, à part que la plupart du temps, ce sont des relations qui importent peu aux gens. Du coup ta copine t'a peut-être blessé sans même s'en rendre compte ni sans s'en sentir coupable.
On a tous peur de l'amour. Peut-être parce qu'on sait que c'est quelque chose que l'on ne controle pas. Tout le reste, on sait faire, on a de l'autorité sur la façon dont ça tourne. L'amour, non. Et aussi parce qu'on sait que c'est quelque chose qui a un pouvoir énorme sur notre bonheur : on a peur de la chute.
Pourquoi est-ce que tu es aussi dur avec toi-même?