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L'échec
Tous un jour nous connaissons le goût très amer de l'échec, de la désillusion pure et simple,
du ratage complet et absolu.
Pourtant si on y reflechit il semble que l'échec nous satisfait plus que la victoire.
Position très paradoxale j'en conviens, déjà dévelloppée par Werber dans son
Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu.
En effet l'échec nous oblige à nous remttre en qustion, si on reussissais tout, ce serait pas drôle nous serions des dieux, aussi l'échec est indispensable à l'Homme pour qu'il se souvienne qu'il n'est...qu'un homme.
Le plus drôle c'est que beaucoup de "grands hommes" ont entrepris des actions qui logiquement ne pouvait qu'échouer.
Bouter les anglais hors de France, les Cents-Jours immédiatement suivis de Waterloo, les historiens soulignent que dès son retour de l'île d'Elbe Napoléon était déprimé, amer, sans doute lui aussi savait qu'il ne pouvait gagner.
Qu'est ce qui les a poussé à entreprendre?
Que ce soit les "Voix" de Jeanne d'Arc ou cette "force mystérieuse[qui]me pousse vers un but que j'ignore", beaucoup ont semblé suivre des forces qui les dépassait, qui contrôlait leur destinée et abrégeai celle de leurs adversaires.
Pourtant tous se sont effondrés.
Qu'en conclure?
Peut être une amorce de l'existence de Dieu, qui un moment élève et un moment détruit?
Le hasard? Je n'y crois pas au hasard, il arrive ce qui doit arriver et on rencontre souvent son destin par les voies qu'on cherche pour l'éviter (parabole d'Oedipe).
La philosophie Hegelienne avait déjà noté que ce ne sont pas les grands hommes qui font l'Histoire, mais l'Histoire qui fait les grands Hommes. Dès qu'elle les lache ils retombent comme des douilles vides.
Vaste sujet qui mériterait mieux qu'un traitement aussi sommaire non?
du ratage complet et absolu.
Pourtant si on y reflechit il semble que l'échec nous satisfait plus que la victoire.
Position très paradoxale j'en conviens, déjà dévelloppée par Werber dans son
Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu.
En effet l'échec nous oblige à nous remttre en qustion, si on reussissais tout, ce serait pas drôle nous serions des dieux, aussi l'échec est indispensable à l'Homme pour qu'il se souvienne qu'il n'est...qu'un homme.
Le plus drôle c'est que beaucoup de "grands hommes" ont entrepris des actions qui logiquement ne pouvait qu'échouer.
Bouter les anglais hors de France, les Cents-Jours immédiatement suivis de Waterloo, les historiens soulignent que dès son retour de l'île d'Elbe Napoléon était déprimé, amer, sans doute lui aussi savait qu'il ne pouvait gagner.
Qu'est ce qui les a poussé à entreprendre?
Que ce soit les "Voix" de Jeanne d'Arc ou cette "force mystérieuse[qui]me pousse vers un but que j'ignore", beaucoup ont semblé suivre des forces qui les dépassait, qui contrôlait leur destinée et abrégeai celle de leurs adversaires.
Pourtant tous se sont effondrés.
Qu'en conclure?
Peut être une amorce de l'existence de Dieu, qui un moment élève et un moment détruit?
Le hasard? Je n'y crois pas au hasard, il arrive ce qui doit arriver et on rencontre souvent son destin par les voies qu'on cherche pour l'éviter (parabole d'Oedipe).
La philosophie Hegelienne avait déjà noté que ce ne sont pas les grands hommes qui font l'Histoire, mais l'Histoire qui fait les grands Hommes. Dès qu'elle les lache ils retombent comme des douilles vides.
Vaste sujet qui mériterait mieux qu'un traitement aussi sommaire non?
Ecrit par BouddhaStorm, le Vendredi 17 Mars 2006, 09:17 dans la rubrique BouddhaStorm.
Commentaires :
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Indrea
vaste en effet...
L'échec pousse à l'amélioration, le progrès, etc : c'est sur. Personnellement quand je rencontre des échecs, je déprime énormément, et puis je m'en remets et je repars. Pour moi ça a souvent un côté constructif.
Mais bon... C'est quand on a pas pris suffisement d'échecs dans la gueule pour les considérer comme "normaux", iratrapables, là quoi qu'on fasse.
Quelques échecs parmis la réussite, c'est bien. L'échec en lui-même, par contre, je ne pense pas.