un bout de réflexion

A c'est enfin à moi de m'exprimer.
Hum.
Humhum.
Humhumhum.
Cela fait juste un an que je suis sortie avec une demoiselle qui devait 2 mois et 30 jours plus tard me coller trois baffes dans la figure.
Mais bizarrement je ne lui en veux pas, je suis pas rancunier et j'ai appris à ne pas juger les gens par leurs actes, je cherche le pourquoi de leurs actes, de leurs paroles.
Et parfois c'est pas jolie jolie, néanmoins je ne dirai pas ici ce que j'ai découvert à propos de la dmeoiselle en question, mais je lui exprime toute ma sympathie.

On m'a souvent reproché d'être "trop" gentil.
Je ne suis pas d'humeur à sortir avec quelqu'un "juste pour le fun", je n'ai pas d'amous de colo ni de vacances, je cherche une relation sérieuse car on ne triche pas avec les sentiments.
Car embrasser quelqu'un lors qu'on a pas vraimentde sentiment envers elle, pour ma part je trouve ça bête, stupide, hypocrite et relevant d'un âge mental très bas. 

N'empêche je mentirai si je disais que me sentir aimer, et bien cela me manque cruellement, en fait j'ai l'impression de ne pas plaire : 
je passe pour chiant, pour quelqu'un qui se complaît dans la douleur,
une personne à caractère masochiste qui se plaît à se faire passer pour une victime (oui je sais indrea c'est facile mais te sent pas attaquer),
ou qui parle à tort et à travers de concept philosophique que personne ne comprends. 

Pourquoi? Sans doute à cause de mon intransigeance j'ose dire légendaire, peut-être de mon extrême sensibilité, ou peut-être parce que je ne montre pas ce que je suis.
Je me souviens d'un de mes camarades de classe qui me demandait il n'y a guère : "Mais pourquoi fais tu exprès de passer pour tout ça?"
Je lui répondis "car au moins je ne me fais aucune illusion de ce que l'on pense de moi, et c'est plus reposant".
Bref je n'emmerde pas les autres, mais je n'admets pas le jugement critique (dans le sens négatif du terme) de part des gens qui ne pourraient pas faire mieux que moi, ou qui du moins n'ont jamais essayé.

Quant à la philo, c'est possible quece soit incompréhensible souvent, mais pas à la pause midi puisque tous les fan de cette matière (et il y en a dans notre bahut) se donnent rendez-vous au café d'en face pour en discuter.
Je ne prétedrai pasêtrele meilleur, ni un penseur exceptionnel, mais je ne suis pas des plus nuls non plus.

L'amour me manque, et si seulement moi je pouvais lui manquer.

A moinq qu'une certaine demoiselle de laville d'a côté dont j'ai fait la connaissance de révolutionne cette dernière remarque.
Affaire à suivre........