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--> Tribute to Werber.
A l'origine du masochisme il y a la crainte d'un évènement à venir.
On le redoute car on ne sait pas quand il se produira ni à quelle intensité il sera.
Le masochiste a compris qu'une façon de réduire cette peur était de provoquer lui-même l'évènement pénible ainsi il saura quand il comment il se produira.
Le problème c'est qu'en suscitant lui-même l'évènement
le masochiste découvre qu'il contrôle enfin sa vie.
Il est capable de décider, quand, où et comment arrivera ses malheurs.
Dès lors l'envahi une volonté de tout contrôler,
et en provoquant ce qui lui fait peur il réussit à ne plus être surpris de rien.
Plus le masochiste se torture moins il a l'impression d'être un jouet du destin,
et il peut ainsi mesurer sa force.
En bref pas étonnant que nombre de hauts dignitaires
soient contumiers de ce genre de fantasmes.
Mais il y a un prix à payer.
A dorce de lier notion de souffrance et notion de maîtrise de sa vie, le masochiste perds la notion de plaisir et devient progressivement anti-hédoniste.
Il ne souhaite plus recevoir de satisfaction et demeure en quête de nouvelles épreuves de plus en plus difficiles.
On le redoute car on ne sait pas quand il se produira ni à quelle intensité il sera.
Le masochiste a compris qu'une façon de réduire cette peur était de provoquer lui-même l'évènement pénible ainsi il saura quand il comment il se produira.
Le problème c'est qu'en suscitant lui-même l'évènement
le masochiste découvre qu'il contrôle enfin sa vie.
Il est capable de décider, quand, où et comment arrivera ses malheurs.
Dès lors l'envahi une volonté de tout contrôler,
et en provoquant ce qui lui fait peur il réussit à ne plus être surpris de rien.
Plus le masochiste se torture moins il a l'impression d'être un jouet du destin,
et il peut ainsi mesurer sa force.
En bref pas étonnant que nombre de hauts dignitaires
soient contumiers de ce genre de fantasmes.
Mais il y a un prix à payer.
A dorce de lier notion de souffrance et notion de maîtrise de sa vie, le masochiste perds la notion de plaisir et devient progressivement anti-hédoniste.
Il ne souhaite plus recevoir de satisfaction et demeure en quête de nouvelles épreuves de plus en plus difficiles.
Ecrit par BouddhaStorm, le Mercredi 28 Juin 2006, 10:07 dans la rubrique BouddhaStorm.
Commentaires :
Etude psychologique d'un phénomène de societé? Qui comme toute "différence", "divergence du systeme", est toujours analysée par rapport à notre norme, et est constemment jugée pour en tirer des conclusions ... Qui cherchent une explication rationnelle, et à trouver le "bug" chez ces personnes pour donner à l'humanité une sorte d'excuse pour avoir créé cette divergence. Mais comment parler pour eux, les autres, en faire un cas général, dire "les masochistes" en excluant toute nuance, presque en en faisant des "cas à part" qu'il faut observer de loin?
Je ne dis pas que ce que tu dis n'est pas pertinent, voire intéressant. D'ailleurs, je trouve que dans cette explication il manque la notion de plaisir : le masochisme ne consiste pas uniquement à avoir mal, mais aussi à en éprouver un plaisir intense...
La prochaine fois, fais nous l'étude de l'homosexualité, ça serait enrichissant :/
Je ne dis pas que ce que tu dis n'est pas pertinent, voire intéressant. D'ailleurs, je trouve que dans cette explication il manque la notion de plaisir : le masochisme ne consiste pas uniquement à avoir mal, mais aussi à en éprouver un plaisir intense...
La prochaine fois, fais nous l'étude de l'homosexualité, ça serait enrichissant :/
[heuheu, ptit beug pour le 1er, j'ai une sacrée manie d'appuyer sur Enter à tout bout de champ =p]
t'es masochiste Storm O_o ?
personnellement j'ai connu des masochistes, mais ils fonctionnaient à l'envers de ce que tu dis. c'était plutot dans le sens où ils s'infligeaient des punitions après un échec. mais comme dit alice, ils y prenaient du plaisir en même temps.
j'avais pas mal philosophé avec Gwen pendant les dernières vacances et on s'était mises d'accord sur un point : qu'on soit maso ou pas, c'est toujours bon d'avoir mal, de se faire mal, ça fait du bien au final. [assonance de diphtongues en -al mymi fière XD.] c'est un moyen de se sentir vivant...
j'extrapole un peu là... O_o
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Laagan