un bout de réflexion
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arrrrrrrrrgl
--> article déstructuré d'un soir de stressée
Au secours. J'ai peur! Je vais vers l'inconnu. J'aime l'inconnu, le changement, la découverte, l'experimentation, les chalenges, les nouveautés. J'aime la difficulté, j'aime presque ce sentiment de peur.
Je suis quelqu'un d'assez sûre de moi. D'habitude en tout cas. De confiante. Pas une stressée de l'existence. Pourtant, je ne peux pas m'empêcher d'être parano, en ce moment. Gravement parano, toujours par rapport à lui. L'autre jour, je me suis completement déprimée à cause d'un texto que j'avais mal interprêté. Serieusement, ça fait peur. Ce soir je suis sur les nerfs, parce qu'il ne m'a pas donné signe depuis que je l'ai appelé hier.
Je ne peux jamais être sûre de ce qu'il pense. Je ne cherche pas à l'être, d'ailleurs. Mais je me rends compte à quel point c'est dûr. De tenir à quelqu'un.
Dûr, ça ne veut pas dire que je souffre horriblement, que je vais commettre un suicide à la clef, etc. Bref, dûr, pas dans le sens dramatique, mais dans le sens compliqué. Parce que d'un côté, je suis particuilèrement heureuse... Et encore une fois, j'aime ce côté difficile.
J'ai une impression de vulnérabilité. Je m'applique toujours à ne dépendre de personne. Sur le point émotionnel, j'entends. Quand j'étais môme, bien sûr, je dépendais de ma famille. Maintenant, après avoir vécu un an loin d'eux, je sais que je ne suis pas réellement dépendante de ce soutien émotionnel omniprésent. Je ne suis vraiment dépendante d'aucun de mes amis. Par contre, je suis dépendante des autres d'une manière générale : je ne supporte pas bien la solitude, j'ai besoin d'être entourée d'amis, mais ça, c'est encore une autre histoire. Pour revenir à ce que je disais, je me sens vulnérable, car je deviens émotionnellement dépendante de Yannick.
Si il me lache, j'aurais du mal. Et je le sais. Je pourrais tomber de haut. Je n'arrive pas à faire entièrement confiance en ses sentiments, et pourtant, je m'y attache. Je deviens accro. Ca ne me ressemble pas. C'est pour ça que j'ai du mal à le gérer, peut-être.
J'ai une déclaration à vous faire. Je crois que je suis entrain de tomber amoureuse.
C'est un grave problème. Rien qu'à dire ça, je ressens quelque chose de bizarre. Un stress. Un pic dans le coeur. Merde. J'ai peur!
Je pense à lui beaucoup trop, je parle de lui beaucoup trop. Ca ne me ressemble pas, non plus! Je ne crois pas à l'Amour, éternel, magnifique, révolutionnant... Il y a trop de clichés qui nous entourrent, qui nous influencent, comme je disais dans mon autre post, je fais partie des gens qui sont persuadés que l'amour est avant tout une illusion.
Alors il va serieusement falloir que je me reprenne en main et que j'arrête ma merde.
Que je relaxe! Voilà, ça fait plus de 3 jours qu'on ne s'est pas vus, je pète un plomb. Parce que quand je suis avec lui, tout va bien... Pathétique, je me trouve pathétique.
Et je stresse, pour des conneries... Des conneries... Tellement bas, tellement inutile... Une perte de temps, une perte d'energie, que de me poser des questions existencielles pendant des heures. Dois-je l'appeler? Est-ce que je ne risque pas de trop passer pour la nana collante? Que fais-t-il? Pourquoi m'a-t-il dit ça l'autre jour? Merde quoi, c'est relou à la fin.
En fait je dis tout ça, mais il faut comprendre qu'au fond, j'en ai rien à foutre. Je me pose mes questions, je me prends la tête, je pense à lui, j'écoute mes sentiments, sans me demande si c'est légitime. L'amour rend con. Rien à foutre, je t'emmerde Alice. (Mais si, je t'aime ma chérie...)
Je suis quelqu'un d'assez sûre de moi. D'habitude en tout cas. De confiante. Pas une stressée de l'existence. Pourtant, je ne peux pas m'empêcher d'être parano, en ce moment. Gravement parano, toujours par rapport à lui. L'autre jour, je me suis completement déprimée à cause d'un texto que j'avais mal interprêté. Serieusement, ça fait peur. Ce soir je suis sur les nerfs, parce qu'il ne m'a pas donné signe depuis que je l'ai appelé hier.
Je ne peux jamais être sûre de ce qu'il pense. Je ne cherche pas à l'être, d'ailleurs. Mais je me rends compte à quel point c'est dûr. De tenir à quelqu'un.
Dûr, ça ne veut pas dire que je souffre horriblement, que je vais commettre un suicide à la clef, etc. Bref, dûr, pas dans le sens dramatique, mais dans le sens compliqué. Parce que d'un côté, je suis particuilèrement heureuse... Et encore une fois, j'aime ce côté difficile.
J'ai une impression de vulnérabilité. Je m'applique toujours à ne dépendre de personne. Sur le point émotionnel, j'entends. Quand j'étais môme, bien sûr, je dépendais de ma famille. Maintenant, après avoir vécu un an loin d'eux, je sais que je ne suis pas réellement dépendante de ce soutien émotionnel omniprésent. Je ne suis vraiment dépendante d'aucun de mes amis. Par contre, je suis dépendante des autres d'une manière générale : je ne supporte pas bien la solitude, j'ai besoin d'être entourée d'amis, mais ça, c'est encore une autre histoire. Pour revenir à ce que je disais, je me sens vulnérable, car je deviens émotionnellement dépendante de Yannick.
Si il me lache, j'aurais du mal. Et je le sais. Je pourrais tomber de haut. Je n'arrive pas à faire entièrement confiance en ses sentiments, et pourtant, je m'y attache. Je deviens accro. Ca ne me ressemble pas. C'est pour ça que j'ai du mal à le gérer, peut-être.
J'ai une déclaration à vous faire. Je crois que je suis entrain de tomber amoureuse.
C'est un grave problème. Rien qu'à dire ça, je ressens quelque chose de bizarre. Un stress. Un pic dans le coeur. Merde. J'ai peur!
Je pense à lui beaucoup trop, je parle de lui beaucoup trop. Ca ne me ressemble pas, non plus! Je ne crois pas à l'Amour, éternel, magnifique, révolutionnant... Il y a trop de clichés qui nous entourrent, qui nous influencent, comme je disais dans mon autre post, je fais partie des gens qui sont persuadés que l'amour est avant tout une illusion.
Alors il va serieusement falloir que je me reprenne en main et que j'arrête ma merde.
Que je relaxe! Voilà, ça fait plus de 3 jours qu'on ne s'est pas vus, je pète un plomb. Parce que quand je suis avec lui, tout va bien... Pathétique, je me trouve pathétique.
Et je stresse, pour des conneries... Des conneries... Tellement bas, tellement inutile... Une perte de temps, une perte d'energie, que de me poser des questions existencielles pendant des heures. Dois-je l'appeler? Est-ce que je ne risque pas de trop passer pour la nana collante? Que fais-t-il? Pourquoi m'a-t-il dit ça l'autre jour? Merde quoi, c'est relou à la fin.
En fait je dis tout ça, mais il faut comprendre qu'au fond, j'en ai rien à foutre. Je me pose mes questions, je me prends la tête, je pense à lui, j'écoute mes sentiments, sans me demande si c'est légitime. L'amour rend con. Rien à foutre, je t'emmerde Alice. (Mais si, je t'aime ma chérie...)
Commentaires :
Re:
merci, jsui pas sûre d'aprécier cette phrase dans toute sa puissance mais ça fait plaisir. Effectivement, c'est plus le genre de réponses que je recherche... Enfin ça c'est partir du principe que je recherche qqchose... En tt les cas je suis d'accord avec l'idée générale, sauf que j'aurais tendance à dire qu'il vaut mieux éviter de paranoïer trop dans la vie, ça ne mène à rien. Autant vivre au jour le jour, non?
Re: Re:
oui mais au bout d'un moment c'est dur de pas envisager le futur et les ennuis commencent...
Re: Re: Re:
relax ^^
t'as 17ans, tu sors avec un gars de 21. Tu tombes amoureuse (tu commences pardon ^^) et tu te tape tous les symptômes qui y sont relatifs.
Aha! tu es frappée par la fatalité amoureuse du destin de l'Homme! (Aha! la personne qui reformule cette phrase correctement aura un bonbon!)
Je comprend que ce soit super prise de tête (ahem) mais sois pas aussi fière ^^ je dis pas que c'est nul que tu te sente comme ca et que ca t'énerve. Juste prend ce que tu ressens plus à la légère, c'est pas un drame si tu t'accroche a qqun :) même si ca te correspond pas, essaie bien, tout le monde est en train de changer, on evolue.
Personnellement, je trouve ça super bien :p Quand je regarde en arrière, ya des trucs dont j'ai honte, d'autres dont je me moque tellement c'est naïf, tellement j'ai pu être immature. Mais bon, je trouve ça mignon.
Apres, par rapport à toi bah je comprend que ça puisse t'enerver, vu comment t'es indépendante. Mais bon, arretons de nous la jouer adulte, l'Amour rend con, et on s'en fout! (fin moi en tout cas.sinon c'est plus de l'amour, ca fait la difference)
t'as 17ans, tu sors avec un gars de 21. Tu tombes amoureuse (tu commences pardon ^^) et tu te tape tous les symptômes qui y sont relatifs.
Aha! tu es frappée par la fatalité amoureuse du destin de l'Homme! (Aha! la personne qui reformule cette phrase correctement aura un bonbon!)
Je comprend que ce soit super prise de tête (ahem) mais sois pas aussi fière ^^ je dis pas que c'est nul que tu te sente comme ca et que ca t'énerve. Juste prend ce que tu ressens plus à la légère, c'est pas un drame si tu t'accroche a qqun :) même si ca te correspond pas, essaie bien, tout le monde est en train de changer, on evolue.
Personnellement, je trouve ça super bien :p Quand je regarde en arrière, ya des trucs dont j'ai honte, d'autres dont je me moque tellement c'est naïf, tellement j'ai pu être immature. Mais bon, je trouve ça mignon.
Apres, par rapport à toi bah je comprend que ça puisse t'enerver, vu comment t'es indépendante. Mais bon, arretons de nous la jouer adulte, l'Amour rend con, et on s'en fout! (fin moi en tout cas.sinon c'est plus de l'amour, ca fait la difference)
Re: Re: Re: Re:
(est-ce que ce commentaire va encore plus t'enerver? aha aha!)
(c'etait juste pour voir ma nouvelle tete desolee hehe) (j'ai une nouvelle tete!!!!!!!tro biiiien!!!! hihihi)
(c'etait juste pour voir ma nouvelle tete desolee hehe) (j'ai une nouvelle tete!!!!!!!tro biiiien!!!! hihihi)
Re: Re: Re: Re: Re:
J'accepte la critique! Je l'accèpte carrément parce qu'elle me semble assez fondée : en effet, il y a une certaine prétention à toujours essayer de prendre de l'écart, de ne pas trop adhérer aux choses, à vouloir contrôler ce que l'on ressent, etc.
C'est d'ailleurs un peu ce que j'ai voulu dire à la fin de mon article : au fond de moi, j'adhère à toutes les conneries amoureuses, et je m'en fiche un peu de tout le reste. Je m'en fiche que ça soit cliché, que ça soit con; Je raisonne, mais mon raisonnement ne suit pas vraiment ce que je ressens. "L'Amour rend con. Rien à foutre.", ça voulait un peu dire "l'amour rend con, tant mieux, j'arrête d'essayer de lui échapper". Le "je t'emmerde Alice", c'est justement parce que j'en ai ras le bol de me prendre la tête entre émotions et raison.
Parce que d'un côté, mon probème c'est que j'ai un sentiment général de superficialité. J'ai l'impression que si j'adhère trop aux clichés, ça ne pourra jamais être vrai, profond. Je me demande sans arrêt où est la limite entre ce que je ressens et ce que ces clichés me poussent à ressentir...
Ce que je dis est extrêmement confus, je m'en rends compte, désolée..
En bref, cet article est le produit d'une soirée où j'étais émotionnellement agitée. Il faut bien se dire que je ne stresse pas autant d'habitude... Au contraire, aujourd'hui par exemple je suis dans une optique où je prends les choses comme elles viennent, et ça marche très bien comme ça.
(ps : elle est choue ta tête!)
C'est d'ailleurs un peu ce que j'ai voulu dire à la fin de mon article : au fond de moi, j'adhère à toutes les conneries amoureuses, et je m'en fiche un peu de tout le reste. Je m'en fiche que ça soit cliché, que ça soit con; Je raisonne, mais mon raisonnement ne suit pas vraiment ce que je ressens. "L'Amour rend con. Rien à foutre.", ça voulait un peu dire "l'amour rend con, tant mieux, j'arrête d'essayer de lui échapper". Le "je t'emmerde Alice", c'est justement parce que j'en ai ras le bol de me prendre la tête entre émotions et raison.
Parce que d'un côté, mon probème c'est que j'ai un sentiment général de superficialité. J'ai l'impression que si j'adhère trop aux clichés, ça ne pourra jamais être vrai, profond. Je me demande sans arrêt où est la limite entre ce que je ressens et ce que ces clichés me poussent à ressentir...
Ce que je dis est extrêmement confus, je m'en rends compte, désolée..
En bref, cet article est le produit d'une soirée où j'étais émotionnellement agitée. Il faut bien se dire que je ne stresse pas autant d'habitude... Au contraire, aujourd'hui par exemple je suis dans une optique où je prends les choses comme elles viennent, et ça marche très bien comme ça.
(ps : elle est choue ta tête!)
Re: Re: Re: Re: Re: Re:
bravo alice : tu deviens une vraie fille : l'art de se prendre la tête sur des problèmes mineurs héhé
non ce que je veu dire c'est que ton mecil a 21, tu profites point barre cherche pas a en savoir davantage on sait jamais ce quon peut trouver
non ce que je veu dire c'est que ton mecil a 21, tu profites point barre cherche pas a en savoir davantage on sait jamais ce quon peut trouver
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BouddhaStorm
pour couper cours aux habituels "mais non tu veras profite nianiania" je dirai ceci :
a t'exercer a te sortir du coeur toutes chose qui peut te faire souffir tu dois (moi parler comme yoda la non?)
etre au dessus de tout ne desirant plus rien